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Vermögensobergrenze und Grundeinkommen einführen, dadurch verringert sich der Anreiz für Profitsteigerungen
Matze K.
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Mobilfunkanlagen (MFA): die Sendeleistung auf Aussenbereiche reduzieren. Effizientere Anschlüsse sind gerade in Ballungsgebieten schon seit Jahren vorhanden, eine Gebäudedurchdringung durch Mobilfunk in die Gebäude ist unnötig und kann vollständig über interne Anschlüsse (Ethernet, WLAN) abgedeckt werden.
Severin D.
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Mehr kleine und grosse Abfallsammelstellen. Förderung der Wiederverwertung oder des bakteriellen oder physikalische Abbaus von Abfallkomponenten
Denise H.
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Ziel sollte sein, das häufige Neukaufen von Smartphones zu senken und so den Elektroschrott zu reduzieren. Darum könnte ein bspw. 10% Zuschlag auf alle Smartphones verlangt werden. Die Einnahmen werden bspw. für Second-Hand Verkaufsstellen investiert. Problem ist, dass so Einkommensschwache diskriminiert werden. Trotzdem würden so spottbiklige Smartphones etwas teurer und deshalb unattraktiver.
Matthias S.
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Suffizienz cool machen und als einzig sinnvolle Lebensweise positiv framen. für alle erschwinglich und zugänglich (Marketing, (gesellschaftliche Incentives, ) (alle Anwendungsgebiete)
Beate R.
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Um den PV-Ausbau der Bestandesbauten zu forcieren sollte eine Informationskampagne, ergänzt um Gratisofferten lanciert werden. Vielen Eigentümern ist nicht bewusst, dass eine PV-Anlage sich bereits innerhalb weniger Jahren amortisieren lässt. Dies insbesondere im Gewerbe wo ein Grossteil des produzierten Stroms selber verbraucht werden kann, oder aber wenn im Wohnbereich ein ZEV als Lösung realisiert wird. Subventionierte Offerten würde es dem PV-Gewerber erlauben, lukrative Objekte zu eruieren und proaktiv die jeweiligen Eigentümer mit einer Offerte von den Vorteilen einer Anlage zu überzeugen. Heute erfolgt die Initiative von den Eigentümern. Mit obigem Ansatz könnten Eigentümer erreicht werden, die ansonsten den PV-Ausbau nicht im Auge haben.
Daniel M.
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Toutes les idées

Moins, c’est mieux – le principe de sobriété

26-09-2022

Chaque année, nous générons quelque 730 kg de déchets urbains, laissons pourrir 110 kg de denrées alimentaires intactes et émettons en moyenne plus de deux tonnes de CO2 dans l’atmosphère lors de nos déplacements aériens. Une fatalité? Non, si l’on en croit le concept de sobriété.

La sobriété, c’est la suffisance. Et donc l’inverse de l’excès. Cette notion recouvre des idées très variées tendant vers la même finalité: être (au moins) aussi heureux en consommant moins de ressources. Cette démarche s’avère bénéfique, à la fois pour l’être humain et pour l’environnement. Voici des suggestions pour y parvenir.

A tester «Zero Waste»

Presque toutes les grandes villes de Suisse disposent désormais de boutiques en vrac. «ZeroWaste Switzerland» en offre une bonne vue d’ensemble. Sa cofondatrice, Natalie Bino, nous explique sa vie sans emballage: «Nous ne nous sommes pas retirés dans une grotte. Nous consommons tout simplement moins et mieux: la qualité, la production locale et la longévité nous tiennent à cœur.»

Faire le tri

Une vie avec 119 objets seulement? «Moins, c’est mieux», assure le minimaliste Alan Frei dans cet article. Ceux qui n’aspirent pas à l’imiter dans l’immédiat, mais veulent tout de même se délester d’un poids, peuvent se fixer de menus objectifs. Pourquoi ne pas vous défaire chaque jour d’un objet, par exemple? Votre existence n’en sera que plus légère! Et si vous décidez de l’offrir ou de le vendre, vous ferez reculer à la fois les besoins de production et la consommation de ressources. Un jour, en raison d’un voyage de longue durée, Stefanie Brenner s’est débarrassée de la plupart des affaires qu’elle possédait. Et ne les a jamais récupérées! «Maintenant, j’ai plus de temps pour mes amis car j’ai moins de rangement et de ménage à faire!»

Consommer moins

La réussite des vacances est-elle fonction du nombre de kilomètres parcourus par les airs? Faut-il toujours plus pour être heureux? Pour Elmar Grosse Ruse, ce n’est pas une vérité générale: «Je veux un mode de vie dans lequel je me sens bien.» Pour lui, cela passe par la réduction drastique de toute consommation particulièrement nocive à l’environnement – viande ou voyages en avion notamment.

Vivre plutôt qu’acheter

Ceci est prouvé scientifiquement: les matérialistes ne sont pas heureux. Ils courent après l’argent et se comparent sans cesse aux autres, ce qui ne leur apporte guère de satisfaction. Plus que les signes extérieurs de richesse ou un énième sac à main, ce sont les expériences qui sont source de bonheur. «Ce qui compte, ce sont les amitiés et les relations», affirme Monika Tobler. «Et elles se consolident en passant du temps ensemble.» La jeune femme préfère ainsi offrir des expériences que des jouets ou des bibelots.

Gagner moins, mais être plus libre

Les comparaisons entre les différents pays et ménages le montrent: plus le revenu moyen est élevé, plus la pollution de l’environnement est importante. Daniel Heusser a volontairement réduit son temps de travail après s’être demandé ce qu’il voulait vraiment. La réponse a été évidente: davantage de moments en famille – même si ses filles grandissent et pèsent de plus en plus lourd dans le budget du ménage. «Avec 20 pour cent de salaire en moins, je n’ai pas perdu en qualité de vie, j’ai tout simplement renoncé au superflu.»

Échange et partage

Presque tous les ménages possèdent une perceuse, pourtant utilisée 13 minutes par an en moyenne. La plupart du temps, elle a donc été produite pour rien, à grands renforts de plastique, de métal et d’énergie. Pourquoi ne pas la partager? Ou acheter des objets d’occasion, que l’on utilise un peu plus souvent? «Je me suis mise à acheter des meubles et des vêtements de seconde main pour les enfants, parce qu’il faut sans cesse les rééquiper au fur et à mesure qu’ils grandissent», explique Giulietta Duyck. «A un certain moment, je me suis demandé pourquoi je n’achetais pas aussi des vêtements de seconde main pour moi.» Elle a fait de bonnes expériences: «De l’ensemble pour le bureau aux chaussures, j’ai déjà fait de belles trouvailles, souvent à peine portées. La qualité, le prix et la variété sont au rendez-vous et l’environnement peut souffler.»

A faire

De nombreuses initiatives locales et parfois nationales facilitent la sobriété et la rendent plus séduisante.

Dans les Repair Cafés, vous pouvez faire réparer vos objets – de la radio à la boucle d’oreille – et réduire ainsi la montagne de vos déchets. Avec les autocollants de Pumpipumpe, vous pouvez indiquer facilement à vos voisins ce que vous accepteriez de leur prêter. Les achats d’occasion permettent aussi d’économiser les ressources: bourses, brocantes et plateformes de vente aux enchères sont faciles à trouver sur Internet. Le rapport du WWF «Changer la mode» explique comment réduire la production textile et les répercussions de cette dernière sur l’environnement. Pourquoi ne pas organiser une soirée d’échange de vêtements? Voici une fiche d’instruction qui vous y aidera. On trouve dans toute la Suisse des coopératives maraîchères – mettez la main à la pâte pour savourer des légumes locaux. Il n’y a pas plus varié, frais et naturel! La page «Zeit statt Zeug» («Du temps au lieu de trucs») propose des suggestions d’expériences à offrir – des cadeaux 100 pour cent écologiques. Réseau des objecteurs de croissance en Suisse romande: http://decroissance.ch/ Vous donnez ou cherchez un objet particulier? Dans les 2 cas, c’est par ici pour éviter de faire les magasins: https://www.keepinuse.ch/ Pour participer au SELs en Suisse, c’est-à-dire s’intégrer dans un système d’échange local de services, de compétences et de biens, au lieu d’acheter: http://sel-suisse.ch/trouver_un_sel.html Les adresses de l’alimentation en vrac en suisse romande, quel que soit votre canton: https://www.frc.ch/utile-au-quotidien/les-bonnes-adresses-vrac/ Envie de faire un cadeau de Noël de seconde main ou immatériel? Inscrivez-vous ici: http://cadeausecondemain.ch/ Besoin de vêtements qui ne nécessitent pas de nouvelles ressources? Plus de 240 boutiques de seconde main en Suisse romande sont listées ici: https://www.arbolife.com/fr/magasins/seconde-main/ A lire

Les ouvrages consacrés à une vie plus sobre foisonnent. Nous pouvons vous conseiller les lectures suivantes:

Penser par soi-même: Guide de résistance d’Harald Welzer: réflexions fondamentales sur la joie du renoncement – ou mieux encore, de la simplification. Se libérer du superflu de Niko Päch: pour sortir du cycle infernal de l’épanouissement matériel et aller à la rencontre de son moi profond.

 

L'article a été écrit par le WWF Suisse et publié sur leur site web. Pour en savoir plus sur le développement durable, cliquez ici.  

Poser des jalons pour un avenir respectueux des ressources

21-09-2022

Le mode de vie courant, marqué par la société de consommation, n'est pas durable. Malgré les progrès techniques et les innovations, nous consommons beaucoup trop de ressources. L'efficacité seule ne suffit donc pas ; des changements de comportement sont nécessaires, par exemple pour réduire le gaspillage alimentaire ou les armoires trop pleines, pour préserver les espaces verts et de détente ou pour lutter contre le changement climatique. Dans ce contexte, la question de la juste mesure et de la vie bonne est au premier plan.

Des modes de vie efficaces pour l'avenir

Outre l'efficacité et la cohérence, la suffisance est l'un des piliers d'un développement durable. Il s'agit de la question de la juste mesure et de la vie bonne, individuellement et de manière responsable à l'échelle mondiale. Un style de vie suffisant se fonde sur une vie riche en relations et pauvre en ressources conformément à la formule abrégée "plus lentement, moins, mieux, plus beau" et est possible sans réduire la qualité de vie (comprise comme satisfaction, accomplissement, bien-être). A l'inverse, le style de vie actuel, marqué par le "toujours plus loin, toujours plus vite, toujours plus", va de pair avec une accumulation de biens matériels et de luxe matériel.

Des styles de vie efficaces : le rôle de la commune

Les pouvoirs publics peuvent créer des conditions cadres qui favorisent des modes de vie suffisants et économes en ressources. Grâce à leur proximité avec la population, les villes et les communes ont différentes possibilités de promouvoir un mode de vie et une économie suffisants : elles peuvent soutenir les initiatives de la population, elles peuvent définir un cadre de développement approprié par le biais de directives de planification et de dispositions légales et elles peuvent elles-mêmes jouer un rôle de modèle.

 

Vous trouverez plus d'informations à ce sujet sur le site web de la fondation PUSCH.

Le défi des voyages à faible émission de CO2

21-09-2022

De Bâle à Barcelone en une heure d'avion, en Suède en voiture : nos vacances ou nos excursions sont souvent liées à une grande consommation d'énergie et à des émissions élevées. "Join the Journey" montre qu'il est possible de faire autrement et que voyager de manière suffisante représente une alternative d'action passionnante et moderne.

Les voyages à l'étranger représentent 45%, soit 11'095 kilomètres, de la mobilité annuelle moyenne par personne en Suisse. Chaque personne parcourt en moyenne près de 9'000 kilomètres en avion (source : Office fédéral de la statistique, 2017). Le voyage dans des pays lointains est considéré comme un besoin de liberté et jouit d'une grande popularité.

Dans le cadre du projet, un petit groupe de personnes devient ambassadeur/ambassadrice d'un mode de vie suffisant dans le domaine des voyages. Leurs récits de voyage enthousiasment et inspirent des vacances durables.

Le voyage commence

Après le lancement de l'avant-projet en 2015, de nombreuses clarifications ont été effectuées sur la faisabilité et le défi a été élaboré. Des partenariats ont pu être conclus et en juillet 2018, six équipes se sont mises en route. Le défi de deux semaines a été suivi par Radio RaBe et les voyageurs ont consigné leurs expériences sur le blog. Les équipes ont essayé de faire mieux que leurs homologues en termes d'émissions de CO2 et ont réalisé chacune trois défis qui leur étaient proposés en cours de route. Les récits de voyage, les émissions et les défis ont servi de critères pour désigner l'équipe gagnante.

Deuxième round : plus loin, plus flexible, plus grand

En 2019, le deuxième challenge s'est déroulé sur tout le mois de juillet. Les équipes ont ainsi pu choisir leur date de voyage de manière plus flexible. De plus, nous avons misé sur un blog plus frais et une diffusion via les médias sociaux. Ainsi, les participants étaient également en mesure de mieux partager leurs articles de blog avec leur communauté. Les places, limitées à dix, ont rapidement été occupées par des équipes, et cette fois-ci par d'autres voyages. Par exemple, la Turquie et l'Écosse ont été visitées sous le slogan #TrainAu lieu de Vol, et le vélo a été utilisé jusqu'à la côte méditerranéenne.

Join the Journey" n'est pas encore tout à fait terminé à la fin du challenge. Les nombreux conseils et astuces que les équipes ont rassemblés seront rassemblés dans un document qui sera mis à disposition.

 

Pour en savoir plus, consultez le site web de l'Ökozentrum à Bâle.

Plus d'actualités & d'événements

Que signifie la suffisance ?

En savoir plus

Sobriété & politique

Calendrier

Avril 2022

Lancement du projet

jusqu'en novembre 2022

Recherche documentaire & interviews d'experts

jusqu'en février 2023

événements participatifs

jusqu'en août 2023

Réalisation & évaluation d'enquêtes

jusqu'en novembre 2023

Communication avec les acteurs politiques & le public

Octobre 2023

Élections au Conseil national et au Conseil des États

Mars 2024

Fin du projet